Dimanche 10 mars 2013 à 13:15

Les jours se suivent incessamment, comme la dentelle dégueule de la jupe d'une danseuse de cancan. Malgré le fait que je ne sois absolument pas stressé, et même plutôt détendu ces temps-ci, j'attaque une crise d'eczéma digital sévère. On dirait qu'un champs de bulbes séreux a élu domicile sur les faces latérales de mes doigts. Ce n'est qu'une question de temps avant que ces vésicules machiavéliques explosent dans un torrent de liquide asséchant qui forera de tout son pouvoir dans les couches supérieur de mon fragile épiderme. Quel bonheur pour cet onde de malheur de mettre à nu mon pauvre derme si inflammatoire, si algique, si suintant.

La douleur est intense, l'envie de gratter avec du papier de verre est constante. Cette merde m'empoisonne la vie depuis maintenant prêt de deux ans, à croire que quand ça veux pas, ça veux pas.

Ma vie sexuelle s'ennuie fièrement, à part un stewart pas top au lit et un gars qui bosse dans la mode et qui baise comme un cheval, rien de bien transcendant. 

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Outre me maintenir sexuellement en vie, je tente de faire grossir mes muscles ces temps-ci, mais j'ai un métabolisme si rapide que je n'emmagasine rien de ce que j'ingurgite, il faudrait que je me fasse des plats de 8 kilos de pâtes et que je mange j'sais pas combien d'oeufs par jour... J'me sens pas trop de le faire, j'ai peur pour mes artères, j'vais continuer à faire comme d'habitude, juste ajouter un eu plus de protéines et de glucides complexes, on va voir ce que ça donne.

Ma carte bleu fume n'importe comment ces temps-ci, j'ai commandé plein de conneries sur internet: un blender, un grille-pain, un sèche-cheveux, un cuiseur-vapeur, un bandeau de nuit pour les yeux avec des yeux de dessins animés dessus (aaaaaaaah il est trop beau!!!) et même... une cigarette électronique!

Ca va être la nouvelle expérience ça! Je devrais la recevoir dans la semaine. Par sûr que ça me plaise et que j'arrive à m'y convertir totalement, mais bon, au prix que ça m'a coûté, je peux bien essayer.

La côte d'Azur est noyé depuis près de deux semaines dans des pluies torrentielles continues me donnant clairement l'impression d'avoir emménagé dans un pays d'Asie où la Mousson est une habitude! Le moral tient bon, varie, mais restent plutôt pas trop mauvais ces dernier temps, j'essaie de penser à autre chose, de pas enser aux hommes qui me torturent, et ça me réussi. 

Moi:
I want summer!! 
Actually, I want sea sex and sun


L'allemand:
I'll be back this summer and then you'll get all three things!!!

Mardi 26 février 2013 à 14:25

http://nurse-tony.cowblog.fr/images/IMG0274.jpg Ma plume court sur le papier encore une fois, expression scripturale du démon intérieur infâme qui m’habite. Celui de la peine, de la douleur, de l’humiliation, celui qui croit utile de pousser le destin à faire plier le peu de tôle de bonheur qui couvre le toit de sa vie.

 

Je n’ai pas confiance en moi, je suis un être putréfié d’un sentiment de solitude immense. Je suis celui qui espère, croit, tente et toujours se prend la branlée que l’amour semble aimer lui donner. Celui qui ne sait aimer qui il faut. Celui qui ne peut se battre sans s’arracher le cœur.

Mon cœur est une faïence ébréchée par les coups du temps, la porcelaine fendue de mon péricarde pisse dans la poitrine qui me sert de centre. Mon centre souffre, mon centre pleure, mais il souhaiterait s’accrocher à rien. Je suis un Apollinaire, perdu au milieu de milles hommes comme lui perdu dans ses milles romances.

Je vais crever seul, d’une maladie émergente et agressive, comme lui. Je vais écrire des tonnes de choses, dans le vide, et n’aurais jamais la reconnaissance que j’ambitionne.

Mon cœur veut s’accrocher, mon cerveau lui hurle de ne pas se jeter dans ce lac de souffrance qui l’attendent. Mon cerveau est raisonnable, mon cerveau me crie que je dois cesser de m’accrocher à lui, il s’adresse à moi d’une petite voix fluette qui couvrent à peine les appels désespérés de mon cœur en mal d’amour.

Encore un chagrin d’amour, un de plus.

Je vais me concentrer sur l’Allemand et vider mon cœur de tout son irraisonnable être.
 

Dimanche 24 février 2013 à 23:10

 TGIF. Thanks God, It’s Friday.

Revenons sur mes sentiments cette semaine. Le yoyo émotionnel, l’ascenseur du cerveau pétassique de la sotte limbique décortiqué que je suis, l’insuffisance cardiaque du sportif en pleine course. Je n’ai pas était bien stable il faut dire.

Il y a eu mes accès de plaisir avec le teuton pour commencer, les échanges de messages futiles (voir les articles précédents) auxquels j’accorde tant de moi-même à décortiquer, les résultats de mes partiels (j’ai tout validé très largement, avec plus de 16 de moyenne générale), le mal que je couve mais qui ne se déclare pas vraiment (je pense que j’ai la grippe mais que le vaccin m’évite de la déclarer vraiment), les leçons de conduite qui se passent si bien…

Tous les jours en rentrant chez moi, j’ai ressenti une sorte d’oppression, une lassitude. Je suis un haineux de la routine, je ne peux pas rester statique. Hors, après 2 mois passés loin de chez moi entre le stage en Lorraine, Paris, Lyon, le ski dans les Alpes etc., je crois que le retour à la réalité,  l’habitude, au quotidien, m’a abattu.

J’aime ma vie, j’aime les gens qui m’entourent, je m’aime peut-être même un peu moi-même aux milieux de ces Autres, c’est dire.

Alors qu’est-ce qui cloche ?

Je suis actuellement dans un train pour Paris. Même ça c’est trop routinier. Ma vie tourne autour de la même chose, des mêmes choses. J’ai besoin d’air, j’ai besoin d’inspirer à fond, et de vider mes poumons de ce « tout le temps ». Je veux les emplir de « nouveau », « d’aventure », de « lointain », de « putain pourquoi j’ai pas fait ça avant »

Pour pallier au sentiment d’emprisonnement domestique, je fais ce que j’appelle du « jogging de contemplation ». C’est quoi ce machin, et bah c’est assez simple et merdique à vrai dire. Je vais faire mon jogging, et je contemple ce qui m’entoure, je me délecte des paysages qui défilent devant mes yeux, de ces vagues qui remuent une mer vue mille fois, cette même mer si diverse chaque jour passant. Je me régale de ces boules de cotons grises qui envahissent l’azur de mon ciel côtier.  Mon esprit se roule dans un sentiment d’infinie liberté comme je le ferais dans un lit de nuages. Souvent le sourire me vient aux lèvres sans raison, mes yeux se noient dans un étang de douces larmes. Je suis accro à cette sensation de puissance, to this feeling that makes me think I can be whoever I wanna be.

“I am wind a hurricane, the stormy sky and rain,

Whenever I’ll run dry, I’ll flood my own pain,

In between the moments of the man I’ve become

A voice beats through the noise like drums

I can be the Queen that’s inside of me”

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Vendredi 22 février 2013 à 0:31

Jeudi soir ici, Jeudi matin là-bas. Ici c'est Monaco, là-bas c'est San Diego. 
Quatre jours que M.Schneul, mon bosche géant, mon teuton blond,  tente d'installer la gastronomie nazi chez notre ami russe, rentré sur l'un des yachts de son patron pour reprendre son travail de cuistot. J'ai attendu bêtement une nouvelle, je crois que je n'ai pas attendu de nouvelles comme cela depuis des siècles.

Comme une chatte pré-pubère en chaleur, je contrôle l'écran de mon Iphone toutes les 10 minutes, espérant à tout instant recevoir cette notification Facebook qui m'indiquerai qu'il pense à moi. 

Lundi matin, avant qu'il prenne l'avion pour San Diego, j'avais eu droit à un petit texto un peu mollasson : "Merci :) à bientôt... Kiss"
Tiens en l'écrivant j'viens de remarquer les trois petits points. Foutus points de merde! On sait jamais ce que ça veut dire. Mais une chose est sûr, ils ne sont jamais là par hasard.

Mardi matin, il a accepté mon invitation à être ami sur Facebook. Je me suis retenu de lui envoyer un signe, j'veux pas paraître trop envahissant (j'ai l'impression d'être une lycéenne en écrivant tout cela).

Mercredi Matin, il avait liké une de mes photos. A savoir que je reçois les news le matin parce que le décalage horaire transforme mon matin comme sa fin de soirée, c'est à dire que quand je me lève à 7h le mercredi matin, il est 22h mardi soir à San Diego. Mercredi soir j'ai pris mes couilles à pleines mains (enfin mes seins, vue que je parle comme une nana tout juste réglée), et je lui ai écris un message :

"My wednesday is quite finished, yours might just start. How are you doin'?! Are you yet back to work?!"
Pour les non-anglohones: "Mon mercredi s'achève, le tien doit tout juste commencer. Comment vas-tu? As-tu repris le travail?"

Simple, clair,concis, détaché,genre j'te kiff mais j'm'en fous, genre j'suis pitoyable à m'auto-analyser mes messages mais j'continue.

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Jeudi matin, il a répondu!!! Yahou!!

"Hey, congratulations for your exams!!! i'm back at work. soooo tired! but i'm happy to be back. i love my crew and my boat. that weekend with you was just amazing! i didn't expect anything and then it turned out to be wow... kiss from california, Andre :)"

Translation: "Hey, félicitations pour tes exams!! J'ai repris le travail, trop crevé! Mais content d'être de retour. J'adore mon équipe et mon bateau. Ce WE avec toi était juste AMAZING! Je ne m'attendais à grand chose, et il s'est trouvé que c'était WOW... Kiss from California, Andre :)"


Ok? Avouez! Ce "Amazing", Ce "Wow" ces trois putains de "...", ça fait rêver non? 

Je sais que je m'enflamme peut-être, que ce n'est peut-être rien d'autre qu'un WE que l'on oubliera vite, je sais que peut-être que je ne devrait pas m'attacher à ces foutus détails, je sais que je ne devrais pas me satisfaire de ces infos du matin, pour déterminer la taille de mon sourire au lever. Mais je sais que je ne sais pas, je sais juste que tout n'est que "peut-être pas".

Mais si c'était un "pourquoi pas?" Et si j'essayais de l'avoir pour moi celui-là? Et si je me battais pour une fois?

Oui, cette fois je vais me bouger le cul, et celui-là je l'aurais pour moi, ce beau gosse sera mon beau gosse.

Marre de les laisser me passer sous le nez, les uns après les autres sans résistance, marre d'en voir passer qui ne m'intéresse pas. Celui-là, j'ai trois mois pour apprendre à lui montrer, en quelques mots par jour, qui je suis vraiment, et à quel point il a besoin de moi, à quel point j'aurais un jour besoin de lui, à quel point un nous, serait beau et sublime. A quel point je suis fou d'y croire.

Je vais  prendre un risque, je vais investir dans ma vie sentimentale, au détriment peut-être, en cas d'échec, de ma santé mentale. Mais sans risque il n'y pas de succès. 

J'ai arrêté de me planter dans les études, dans les relations familiales, j'ai arrêté de fumer, j'ai arrêté de manger que des cochonneries et de grignoter entre les repas, j'ai arrêté de lézarder plutôt que de faire du sport, j'ai arrêter de croire que le travail ne paye pas, j'ai arrêté de croire que j'étais incapable de réussir. 

J'ai compris que je peux réussir partout. L'amour est le seul endroit où je n'arrête pas d'être un perdant. Mais un perdant c'est un feignant. Je veux réussir et j'y travaillerais. Je crois que j'ai le Coup de Foudre. 

En espérant que la chute ne sera pas trop dure. Et que je n'aurais pas encore une fois, honte de mon sentimentalisme, en relisant tout cela dans quelques mois.

Lundi 18 février 2013 à 12:45

Alors même que j'étais parti pour lui mettre un lapin, j'ai pris le train pour Nice. Ce gars, je ne le connais pas, j'ai échangé quelques messages avec lui sur internet, il a l'air sympa mais il me fait pas grandement rêver, et puis j'suis casanier. Mais bon j'y suis quand même allé. C'était samedi vers 16h30. On s'est retrouvé devant le Sephora de l'avenue Jean Médecin. J'ai vu débarquer un grand machin, 1m94 au garrot, des lunettes de soleil Prada posée sur le nez, les cheveux blonds nordiques. Bref, un teuton, un boche, un germanique, un nazi quoi (vision réductrice de l’étranger entraînée par la fatigue et la flemme). Cela dit, il avait l’air charmant, il m’a sorti ce sourire de je ne sais où, quelque part entre un pub pour dentifrice bas de gamme et le smile qu’on essaie de te faire croire que tu l’auras dans les Bar à dents, fantastiques institut où te bombarde les chicots d’UVB pour qu’ils blanchissent.

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Un beau sourire.

J’ai sorti mon plus bel atout, mon sourire à moi, c’est ce qui fait rêver chez moi en général. J’ai hérité ce sourire de ma mère, des dents blanches et bien alignées, un sourire trop large qui fend mon visage et me donne un air mesquin et malicieux, peut-être même coquin. Bref, l’entièrement de mon modeste narcissisme exacerbé s’est exprimé pour charmer la mule.

Les premiers mots qui sont sortis de sa bouche était en Anglais, c’est la langue dans laquelle nous avons dû échanger, mon Allemand étant totalement inexistant, son français étant un peu hasardeux bien que correct. Il a parlé un anglais presque parfait, avec un léger accent qui lui donne un air fier et puissant. Un viking quoi.

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Nous avons bu un café, le courant est passé, il a d l’humour, il est plus beau sans ses lunettes, le soleil fait briller ses cheveux blonds et sublime la couleur du vin blanc que contient la bouteille que l’on attaque à grands goulées.

Il vit à Nice, et travaille comme chef-cuisinier pour un milliardaire russe dont je tairais le nom mais qui détient bien 4 Yacht. L’un de ceux-ci mesure 115m et emploie mon teuton.

Après un coup de fil en gerbage de sons dissonants et étranges (en allemand quoi), il m’a proposé qu’on aille au restaurant, avec ses potes allemands qui sont venus lui rendre visite. Nous passons chez lui, descendons une bouteille de « Champagne Allemand », étrangeté s’il en est, goûteuse et rivalisant avec certains des meilleurs champagnes rosés que j’ai pu porter à mes lèvres jusqu’à l’instant. Ma tête commence à tourner légèrement, je ris plus facilement, mon anglais devient plus fluide, je suis moins timide, on flirte un peu, sans exagéré, puis on repart rapidement retrouver ses amis nazis.

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Les autres nazis sont deux pédales profondément sympathique et extravagamment douée pour la répartie, la rhétorique, le franc-parler, l’humour. L’un des nazis est arabe, l’autre est juif. Nous conversons en anglais, afin que je puisse comprendre quand ils parlent entre eux. Ce ne sont pas vraiment des boches. En fait, ils sont Suisse Allemand, l’un vit à Bern et travaille dans l’hôtellerie, l’autre à Bâle, dans les Ressources Humaines.

On se marre beaucoup, en mangeant dans un restaurant où nous croisons un certain Monsieur Estrosi, maire de Nice et ancien ministre. Mon accent très british intrigue et les amène à remarquer tous mes tics de langage. L’Anglais anglais n’est plus l’anglais de référence chez les moins de 30 ans. L’américain des séries télévisées largement diffusés par le streaming internet a pris le pas, la langue des canards devenant standard devant le standard.

J’ai choisi d’arrêter de fumer samedi matin. Les muscles de mon corps se crispent progressivement au fil des litres d’alcool que nous ingurgitons avec délectation (un Chablis grand cru arrose d’excellents plats de fruits de mer italiens). L’envie me dérangera tellement dans le bar suivant (vodka-redbull, quand tu nous tiens), que je craquerais pour une petite cigarette qui sera ma dernière. Après un petit moment, nous avons rejoins une boîte gay de Nice, où j’ai perdu le contrôle sur ma consommation d’alcool, le « vodka-champêche » à couler à grands flots dans mon tube digestif. Je n’ai plus peur de rien, je lui roule des pallots d’un autre monde, nous quittons le night-club à 3h du matin.

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La passion charnelle ne s’est pas fait attendre. Après avoir pris congé des boches, nous avons rejoint l’appartement du viking. Nos corps se sont entrelacés, une sorte de monstre immense a quitté son caleçon. Jamais vu un engin pareil, ma main n’en faisait pas le tour. J’ai pris ce machin dans le cul, je ne sais vraiment pas comment j’ai tenu. Mais j’ai adoré, il a adoré, c’était un mélange de bestialité et de tendresse, une sorte de vicieuse vertu nous poussant dans un pêché salvateur.

Après une nuit de « cuddles », nous avons remis le couvert avant de nous lever pour rejoindre ces amis en ville, prendre un café… puis un rosé. Nous avons été rejoints par un autre jeune français qui faisait de l’œil au suisse rebeu. Un étudiant en Sciences politique, sympathique, avec un humour qui ne m’a pas déplut. Nous avons continué à échanger en anglais, mais nous avons tout de même échangé quelques mots en français. Quand on parle une langue étrangère, même « fluently », il arrive que des mots soit tout de même difficile à trouver, réfléchir pour la construction de phrases correctes est épuisant, bien que plaisant. Le français devient alors cette bouffée d’air qui s’engouffre dans la fournaise d’un appart’ de la Côte d’Azur en pleine canicule. Une sorte de libération qui ne doit durer qu’un court moment afin que le froid ne vienne pas remplacer la chaleur.

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Quand nous avons attaqué la 3 ème bouteille de vin de la journée, en mangeant huîtres et bulots, j’ai senti la fatigue me gagner. Nous avons encore bouger dans quelques bars pour boire l’apéro avant de ramener les fans de gruyère au bus qui les amènerait à l’aéroport quelques minutes plus tard.

La soirée s’est terminé par un repas à deux, des câlins sous la couette, de la tendresse, de l’affection.

Ce matin, il a pris l’avion pour San Diego, où il va reprendre le travail pour 3 mois, avant d’éventuellement rentrer sur Nice pour ses congés d’été.

Nous allons nous revoir, je l’espère, il semble qu’il l’espère aussi. Je vais tenter de garder contact avec cet Arien qui m’a franchement surpris (et bien sûr pris).

Voilà comment 20minutes de train et un simple café  peut vous faire voyager à l’étranger, sens dessus-dessous.

 

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